Je viens au monde dans le froid hivernal et limite Polaire de Stockholm, capitale de la Suéde. Mes parents n'étaient pas tout les deux Suédois, seule ma mère l'était de plein sang. Mon père était ambassadeur américain à Stockholm d'où mon nom de famille peu Suédois. Ma mère travaillait pour lui en tant que secrétaire. Si, je vins au monde le jour de la fête des amoureux ce n'est pas pour cela que ma vie fût couronnée d'amour, loin de là s'en faut. Mes parents riches certes, et surtout bien trop préoccupé par leur travail et ce malgré les lois en application pour aidé les parents suédois à s'occuper de leurs enfants, choisirent de me confier aux soins d'une nurse.

Je grandis, sans parents, sans frères ni sœurs, car c'était bien trop de frais et de tracas, parce qu'apparemment ce que mes parents ignoraient c'est qu'un enfant ça remue... plus qu'un chien ou un chat. J'étais ce qu'on appelle un bébé objet, un enfant conçu parce que ma mère en voulait un, j'étais là pour décoré, faire bon genre devant tout le monde. Et j'en deviens complètement insupportable à vivre. Et il faut savoir qu'en Suéde, donné la fessé à un enfant, ou lui mettre une tarte, peu importe l'intensité ou le geste, est punissable de prison, étant considéré comme maltraitance. Je pense que néanmoins, dans mon cas, elle n'aurait pas été de trop, j'étais vraiment capricieux, colérique, méchant... mais ce n'était pas de la méchanceté gratuite, j'essayais juste que mes parents me remarque, ce qui n'arriva jamais.

L'adolescence fût la plus sale période de ma vie et évidemment pour mes parents aussi. Je n'avais pratiquement aucune limite, on ne m'avait pas éduqué correctement, j'étais un sale gosse et je le reconnais moi même. Doué pour la guitare, j'intégrais un groupe de rock entre jeune, je me mis à boire, à fumer et à évidemment, consommé de la drogue. Jusqu'au jour où, dépassé totalement par mon comportement, mes parents décidèrent d'agir. Peut être pas dans le bon sens mais enfin... il m'envoyèrent chez mon oncle, grand architecte à Paris. Chez lui, j'eu enfin des régles, des limites et un encadrement que je n'avais pas eu, évidemment à 16 ans, c'est laborieux de mettre des régles... mais avec beaucoup de calme et de patience, il y arriva. Je stoppais la drogue, je diminuais l'alcool, mais bon... fumer c'était même pas remis en question!

Nous déménagions presque 6 mois plus tard pour Oxford où, il avait une meilleure place qui l'attendait. A 18 ans, je décidais de tenter l'unif pour être architecte, mon oncle m'avait communiquer sa passion. Je fus surpris de pouvoir intégrer l'université... j'en suis fier et je bosse dur pour réussir.