C'est dans le froid presque polaire du 25 décembre à Cheyenne (Wyoming) que je vins au monde. J'avais pour parents des gens formidables, ma mère était professeur d'Anglais dans une bonne école et mon père était un grand avocat. Cependant, ils prirent tout les deux le temps de s'occuper de moi dès ma naissance. J'étais un enfant heureux et je n'ai pas peur de le dire, j'avais beaucoup de chose que je voulais, je n'avais pas tout quand même mais une chose que je n'ai jamais eu c'est: un frère ou une soeur . Mais même sans ce manque, mes parents ont réussi à faire de moi, un gentil garçon, aimable, heureux poli et serviable. Je n'avais aucun soucis à l'école, j'avais beaucoup d'ami et j'étais un bon élève.

Sonna l'heure de passé à l'adolescence, je faisais le nécessaire pour choisir mon orientation la plus forte possible pour les sciences car je voulais être Vétérinaire, mais pas n'importe lequel! Non, je ne voulais pas soigné les petits animaux, je préférais les grands et surtout les chevaux. Quand j'eu fini ma Terminale, je posais ma candidateur à Harvard pour faire mes études. Elle fût accepté et c'est ainsi que je partais pour le Massachussetts. Les années furent longues et surtout difficile mais je réussis à force d'acharnement sur mes cours. Je sortis même avec grande distinction. J'aurais du retourner dans le Wyoming, mais l'amour me fit rester ici... j'allais enménagé avec ma fiancée à Dallas au Texas, elle était vétérinaire petits animaux, moi pour les chevaux et les animaux fermiers.

Et nous nous sommes mariés. Le bonheur aurait pu être ainsi complet jusqu'à la fin de nos jours, si elle n'était pas tombé gravement malade. Pendant toute la durée de sa maladie, je pris soin d'elle, jusqu'à ce que cette saleté de cancer l'emporte et mon bonheur avec. Cela fait maintenant 1 ans, qu'elle n'est plus là et autant de temps que je suis devenu un bourreau de travail. Je me suis même lancé dans l'élevage, noyant ma peine dans le travail. Cela fait 6 mois, que j'ai déménagé ici à Oxford pour échappé à cette ville où j'avais perdu ma femme, j'ai rencontrer un autre vétérinaire, nous avons décidé de collaboré, lui fait les petits animaux, je fais les gros, on s'arrange bien à nous deux. Désormais, pour me sortir un peu de mon monde, on m'a forcé à accepté le post de professeur en médecine vétérinaire à l'université d'Oxford.